domingo, agosto 28

elle




Aujourd’hui encore, l’image de Carmilla me revient en mémoire sous des aspects divers et estompés. Parfois c’est la belle jeune fille enjouée et languide; parfois le démon aux traits convulsés que je vis dans l’église en ruine. Et j’ai bien souvent tressailli, au cours d’une de mes rêveries, en croyant entendre le pas léger de Carmilla devant la porte du salon. (Joseph Sheridan Le Fanu. Carmilla, 1872)