lunes, octubre 28
jueves, octubre 24
corpus resurrectionis
She said body
he said bodystocking
she said bodystocking
he said stalker
she said stalker
he said motherfucker
she said motherfucker
then there was a corpse
a thousand golden butterflies in the sky
(In the beginning)
martes, octubre 22
jueves, octubre 17
Triste? Pas du tout.
Je vous écris tout ça d'un autre monde, un monde d'apparences. D'une certaine façon, les deux mondes communiquent. La mémoire est pour l'un ce que l'Histoire est pour l'autre. Une impossibilité. Les légendes naissent du besoin de déchiffrer l'indéchiffrable. Les mémoires doivent se contenter de leur délire. De leur dérive. Un instant arrêté grillerait comme l'image d'un film bloquée devant la fournaise du projecteur. La folie protège comme la fièvre. J'envie Hayao et sa "Zone". Il joue avec les signes de sa mémoire, il les épingle et les décores comme des insectes qui seraient envolés du Temps et qu'il pourrait contempler d'un point situé à l'extérieur du Temps -la seule éternité qui nous reste. Je regarde ses machines, je pense à un monde où chaque mémoire pourrait créer sa propre légende.
Chris Marker. Sans soleil. 1983.
miércoles, octubre 16
lunes, octubre 14
La ruptura en la cadena significante
Es aquí -en el abismo de esta planitud de la imagen en la pantalla, en la proliferación ilimitada de imágenes de la cámara fotográfica, que multiplica espectralmente los rostros, los cuerpos y los mundos- donde se disuelve y muere el cuerpo construido en el espejo a lo largo de los siglos, donde comienza a producirse la disociación del individuo constituido en la conjugación, en la pieza única de un interior/espíritu y un exterior/cuerpo (no menos ficticio por cierto), donde se termina (sin pena ni gloria) la historia espesa de su representación para devenir apariencia.
Piedad Solans. Del espejo a la pantalla, derivas de la identidad.
Piedad Solans. Del espejo a la pantalla, derivas de la identidad.
martes, octubre 8
martes, octubre 1
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